Les Jeux olympiques, « c’était une obsession pendant mon enfance, dit la plongeuse Annie Pelletier. Je dessinais les anneaux olympiques sur tout mon matériel scolaire. » C’est Nadia Comaneci, et ses prouesses lors des Jeux de Montréal en 1976, qui lui donne la piqûre, explique-t-elle au micro d’Alexandre Despatie. Dès lors, elle se met à la gymnastique, mais ses parents la retirent de ce sport à la suite de blessures. Son père lui fait découvrir le plongeon, qui devient sa nouvelle obsession. Le chemin vers la médaille de bronze aux Jeux olympiques d’Atlanta n’a pas été facile, admet Annie Pelletier. L’entraînement et ses sacrifices ont toutefois été une grande école de vie. À travers les épreuves, elle a développé sa confiance en elle et dépassé ses limites. Sa carrière post-olympique a commencé à la télévision, une expérience plutôt difficile, surmontée en mettant en pratique les apprentissages acquis dans le sport.