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Le 18 septembre 1981 -il y a 37 ans aujourd’hui- les députés français votaient l’abolition de la peine capitale, un engagement de campagne de François Mitterrand. C’était alors l’aboutissement de 200 ans de combat abolitionniste. En 2007, son successeur Jacques Chirac consacrait l’interdiction de la peine de mort en l’inscrivant dans notre constitution. Ce volontarisme politique mérite d’autant plus d’être salué que l’abolition de la peine de mort n’a pas toujours eu l’aval des Français. En 1981, ils étaient une majorité à souhaiter son maintien. Et ceux qui, depuis, réclament son rétablissement restent, certes minoritaires, mais non moins nombreux. Qu’en est-il aujourd’hui? Quelles sont les fractures de l’opinion sur la question? La recrudescence du terrorisme a-t-elle fait bouger les lignes?
Raphaël Chenuil-Hazan, directeur de l’association “Ensemble contre la peine de mort“
Le 18 septembre 1981 -il y a 37 ans aujourd’hui- les députés français votaient l’abolition de la peine capitale, un engagement de campagne de François Mitterrand. C’était alors l’aboutissement de 200 ans de combat abolitionniste. En 2007, son successeur Jacques Chirac consacrait l’interdiction de la peine de mort en l’inscrivant dans notre constitution. Ce volontarisme politique mérite d’autant plus d’être salué que l’abolition de la peine de mort n’a pas toujours eu l’aval des Français. En 1981, ils étaient une majorité à souhaiter son maintien. Et ceux qui, depuis, réclament son rétablissement restent, certes minoritaires, mais non moins nombreux. Qu’en est-il aujourd’hui? Quelles sont les fractures de l’opinion sur la question? La recrudescence du terrorisme a-t-elle fait bouger les lignes?
Raphaël Chenuil-Hazan, directeur de l’association “Ensemble contre la peine de mort“
Marie Boëton
Leobardo Perez
LĂ©a Delion