Des chercheurs de l'Université Laval ont identifié dans un champignon microscopique du Nunavut, une région très froide du Grand Nord canadien, une molécule pouvant anéantir la résistance de l'agent responsable de la malaria, Plasmodium Falciparum au traitement appliqué jusqu'à maintenant. Mais il y a encore bien des étapes à franchir pour mettre en oeuvre un traitement à base de la molécule appelée, mortiamide.